
Savez vous que les Pic aiment les cacahouettes?
C'est étrange cette attirance pour l'exotisme
Tous les jours il revient sur le pommier dans le jardin
Il est beau l'oiseau...
Je suis papa de trois enfants. J'ai eu la garde de mes aînés dans un contexte difficile. Le troisième né d'une seconde histoire, vit à Asnières 92 à des centaines de kilomètres de chez nous. L'argent a été la justification de l'enlèvement que nous subissons. Car quelque soit le prétexte, un éloignement à grande distance imposé est un enlèvement d'enfant. Ce blog est un témoignage, en espérant que mes trois fils ne revivent et subissent pas plus tard ce que nous vivons.
Si j’ai accepté d’aller chercher ARTUS à mes frais aux vacances d’été et à toussaint, c’est parce que je n’avais pas le choix et que vous me faisiez déjà chanter sur ce point et que j’avais alors céder à votre chantage. Le même chantage qui m’obligea en octobre à aller chercher ARTUS à VESOUL à 45 km de chez moi alors que nous avons la gare de LURE à 12 km sur la même ligne. Pourquoi s’arrêter à 45 km plutôt qu’à 12 km si ce n’est pour rendre les choses plus difficiles.
C’est vrai ça, comme vous ne finissez pas le transport à votre charge, pourquoi ne ferai je pas 12 x 2= 24 km ou 45 x 2= 90 km ou 75 x 2= 150 km, ou même comme vous le dites dans votre précédent courrier, pourquoi ne viendrais je carrément pas chercher ARTUS à Asnières en assumant tous les transports ?
Vous demandiez en appel, que l’on me supprime tout droit de visite les WE, je constate que les juges ne vous l’ont pas accordé, mais que vous l’avez mis en place en me supprimant les vacances aussi.
Je vous fais remarquer que les WE ont été fixés par l’ordonnance de juin 2006 tout comme les modalités de transport.
Et effectivement, vous fixer les WE à votre guise. Comme ce mois de septembre où vous nous avez dit le vendredi 8 où Artus devait venir, que le deuxième WE du mois n’était pas le deuxième mais que c’était le suivant. Le WE suivant (le troisième du mois) vous aviez décidé que je devais aller chercher ARTUS à l’école. Malgré mes réponses négatives par mail et par mon avocat. Vous avez quand même fait attendre ARTUS à la sortie de l’école en lui laissant croire que j’allais venir le chercher, ce qui est pour le moins odieux.
Ma situation financière que je vous dois en partie, ne me permet pas d’acheter une voiture. C’est vrai que vous ne m’auriez pas escroqué en 2001, sur un contrat d’assurance quand vous étiez chez AON, j’aurai encore sûrement mon travail et surtout mon entreprise. Je passe d’ailleurs encore, une grande partie de mon temps en procédures pour me défendre des conséquences de vos malversations et magouilles malhonnêtes, puisque je suis accusé en temps que gestionnaire de n’avoir pas pris les assurances nécessaires à la protection de l’entreprise (merci madame, cela je vous le dois directement et pas seulement à votre amie Françoise comme vous le laissez entendre dans votre courrier de mai 2002).
Ma maman, qui vit une partie de son temps à Belverne, une autre chez ma sœur à LYON ou chez mon frère à SURENNE, ne peut pas être dépendante dans ses déplacements avec son véhicule, de votre seule volonté. Par ailleurs, vous l’avez accusé déjà, de s’occuper d’ARTUS à ma place. Si elle n’est pas forcement là, pour assurer votre bon vouloir, vous ne pourrez plus continuer de nous accuser à tord sur ce point.
Vous me dites : que votre seul souci est l’équilibre d’ARTUS et que la preuve en est le carnet scolaire d’ARTUS. La mère de mes deux grands avait le même argumentaire que vous et le même soutien de l’école, malgré les maltraitances que subissaient mes fils. En maternelle, comme pour ARTUS, c’était particulièrement bon comme résultats. Alors laissez moi sourire sur l’école maternelle Flachat. Ayant moi-même subi des maltraitances, je sais comment on y fait bonne figure, pour cacher ce qui est difficile par ailleurs à la maison. Les enfants maltraités ne sont pas forcement des mauvais élèves, surtout en maternelle. Oui, madame YEDDOU, ce que vous faîtes subir à ARTUS, c’est de la maltraitance.
Vous aviez déménagé sans laisser d’adresse en 2003 (votre lettre à ma mère l’atteste puisque vous expliquez pourquoi en m’accusant de façon calomnieuse entre autre de faire peur à ARTUS) et que les cadeaux envoyés en janvier 2004 sont revenus chez nous, parce que votre courrier ne suivait plus depuis l’ancienne adresse.
Madame Royal
En 2001 quand Artus est né, j
Ne t’en fais pas me dit mon ex je vais arranger cela. Et AON me fait signer en avril 2001 un nouveau contrat. J’avais Artus sur les genoux ce jour là. Et sa soit disante marraine, Marie Cécile Blondet, de m’affirmer que j’étais aussi bien couvert que dans les contrats qu’elle signait avec Danone. A elles riaient ce jour là, les YEDDOU, BLONDET et BERTETIC… et Artus faisait des risettes...
Deux mois après toujours pas de remboursement sur un préjudice se montant en million de francs. Mon ex m’annonce qu’elle retourne à Paris pour s’occuper de mon dossier. Comment ne pas la croire…
Derrière cela, pour couvrir le défaut d’assurance, il a fallut recapitaliser la SA et n’ayant plus d’argent j’ai perdu ma présidence, mon travail et un peu plus tard mon entreprise.
C’est vrai que c’est de ma faute. Je n’aurai pas du faire confiance à la mère de mon propre enfant. C’est vrai que quand on est assureur, ce type de comportement dans le mensonge, c’est un peu une seconde nature. Et puis pour madame, il fallait préserver sa belle carrière…
Vous trouverez ci-joint sa lettre en cliquant sur ce lien YEDDOU-AON
Ne figure bien sûr pas non plus la façon dont elle m’a baladé jusqu’à sa démission de chez AON en juillet 2001, me demandant même des augmentations à quelques jours son départ. Démission qu’elle ne m’annoncera qu’une fois installé chez MARSH en Août 2001. pendant ce temps là je m'occupais seul de notre fils à Romans sur Isère. Il avait 7 mois...
Alors, je pense raisonnablement maintenant, avoir le droit de ne pas avoir confiance, quand elle me dit qu’elle va faire quelque chose. Je ne l’ai jamais vu tenir ses engagements. Pourquoi s’arrêterait elle d’ailleurs, puisque cela lui réussi si bien auprès des JAF et des quelques amis qu’elle a encore ?
Et ainsi va la vie… il faut bien survivre
Mais qu’imaginez vous, qu’elle racontera à notre fils sur cette partie peu glorieuse pour elle de notre vie?
Pourquoi croyez vous, qu’elle fasse l’impossible pour me couper de lui?
Cela serait si simple pour elle, si elle pouvait dire : "tu vois ton père ne t’aime pas, il faut l'oublier". Si simple si les ponts étaient coupés définitivement et que l’enfant ne grandisse pas en se posant des questions ? Elle pourrait ainsi garder la sainte image de mère parfaite qu’elle essaie de donner à tous…
mercredi 6 décembre 2006
Madame Y
Si vous étiez bien intentionné vous ne m’enverriez déjà pas des courriers (comme chaque fois) trois jours avant la date du WE en sachant que je n’aurai pas le temps matériel de vous répondre. Votre courrier est partie le 5 de la Défense soit hier. Alors que Artus est censé arriver chez nous Vendredi dans deux jours. Depuis un mois alors que vous étiez parfaitement injoignable au téléphone, vous aviez largement le temps de faire autrement.
Même en me déplaçant à Paris, le deuxième WE de novembre 2006, vous m’avez quand même empêché de voir ARTUS. Vous avez refusé de me parler, tant en direct que par téléphone. Vous avez même refusé de répondre à la police qui vous relançait après que vous les ayez appeler pour me faire partir.
Votre recommandé du jour est adressé d’une adresse à la défense que je ne connais pas.
Avez une fois de plus déménagé sans m’avertir ?
Ou bien utilisez vous le compte et l’adresse de votre employeur pour vos courriers personnels recommandés ?
Quinze jours ont passé depuis le dernier WE
Mais mes chaussures sont les même
"Les Chaussures pourries c'est pour aller chez Papa"
Dans le train nous avons bien rigolé en jouant aux chaussures qui parlent
Regardez, elle va me manger avec sa grande bouche de chaussure à dents
Vite, vite, au placard les chaussures qui parlent...
Monsieur le procureur
Je viens enfin de recevoir de votre bureau les pièces du dossier n°36623 du 25 septembre 2003
Deux pièces manquent dans votre dossier :
Ma plainte pour maltraitance de mes fils par leur mère.
Le certificat médical du Dr VILETTE qui avait entendu les enfants avant que je me rende au commissariat de Valence pour porter plainte. Certificat médical attestant de la pression psychologique subie par mes fils et que j’ai remis en main propre aux policiers du commissariat de Romans.
Expliquez moi pourquoi, alors que je me suis rendu à plusieurs reprises au commissariat de Romans sur Isère (sans mes enfants le lundi et avec mes enfants ensuite le mardi qui y ont laissé leurs témoignages parlant de menaces de leur mère avec une batte de base ball) aucune plainte de ma part n’a été saisie, ni aucune plainte ne vous soit parvenue du dit commissariat?
J'invite chaccun, homme ou femme a venir enrichir la recherche d'idées
Au début, déménager un grand mère c'est ça:
15 m3 dans la benne et 20 dans le camion rempli à raz bord
Au bout de la route, il y a la maison toujours aussi belle et des jonquilles encore en fleur
Enfin il y a une grand mère souriante et c'est bien l'essentiel
Bientôt ce sera notre tour
A la fin de l'école, au mois de juillet
Nous languissons tous...
Ce we au soleil du printemps au bord de la Véore, un grand frère, quelques galets et un morceau de bois...