Savez vous Mademoiselle Y, que chaque jour, chaque heure, chaque minute qui passe me rapproche un peu plus de la sortie de la prison de mensonges dans laquelle vous nous avez enfermé, prison par laquelle vous nous avez privé d'un fils, d'un petit frère avec l'aide de cette justice familiale française si sexiste et si loin de l'intérêt des enfants.
Prison par laquelle, vous l'avez lui, privé de ses frères de son père.
Vous l'avez lui, notre fils, obligé à mentir pour vous protéger et à grandir dans une telle peur qu'il n'ose à 10 ans même plus vous parler de ces choses importantes qui lui tiennent à cœur.
Ses treize ans arriveront vite, mademoiselle Y, et sa majorité suivra juste derrière.
Le temps de votre petit pouvoir, de vos mensonges et de vos chantages va bientôt s'achever en même temps que celui de notre prison. Chaque pulsation, chaque respiration nous rapproche un peu plus de ce moment-là et chaque instant qui passe, je sens un peu plus le doux parfum de notre liberté loin de votre tyrannie, loin du sexisme fainéant des juges aux affaires familiales, loin du cynisme hypocrite des avocats...
A propos, mademoiselle Y avez vous remarqué que notre fils aussi est un garçon?