mardi 20 juin 2006

Amertume fin juin

Fin juin le rendu du tribunnal d'appel.

A la lecture de l'ordonnance j'ai eu le coeur gros.
Mon impression de sortie d'audience était faux.
La décision est sexiste et habituelle

Nous verrons moins ARTUS
Madame a été entendue dans presque la totalité de sa demande
Le juge va même me repprocher de n'avoir pas pu voir l'enfant régulièrement alors que sa mère avait déménagé sans laisser d'adresse. Quand c'est à ce point là de parti pris aveugle, que faire?
De toute façon, j'aurai pu dire n'importe quoi, j'avais tord. Aucun de mes arguments n'a été retenu. Aucun.

Je ne verrai ARTUS plus qu'un WE par mois.
Le deuxième. Pourquoi le deuxième, parce que madame l'a demandé.
Je le verrai par contre la totalité des petites vacances et la moitié des grandes.
La seule chose que madame n'a pas obtenu c'est que j'ai la charge de l'intrégralité des transports comme elle l'avait demandé.
L'ordonnance précise qu'elle devra amener ARTUS a mon domicile à BELVERNE après l'école le deuxième WE du mois et au début des vacances qui me sont attribuées.

En fait c'est un mode assez classique de jugement.
La mère éloigne l'enfant du père
Premier jugement avec un droit de visite 1 WE sur deux
La mère construit des problèmes ( refus d'assurer sa part de transport)
Le juge constate qu'il y a des problème et sanctionne le père en limitant son droit de visite
Est ce que cela va faire changer celle qui cause les problèmes?
J'avais eu la même chose à Marseille. Chaque décision disait à madame: continuez!!
Je suis donc particulièrement pessemeste pour la suite.
D'autant que le juge m'a coupé tout accès à l'école et à la scolarité d'Artus en m'ottant le plaisir d'aller le chercher...

vendredi 2 juin 2006

Les chaussures qui parlent

Quinze jours ont passé depuis le dernier WE
Mais mes chaussures sont les même
"Les Chaussures pourries c'est pour aller chez Papa"
Dans le train nous avons bien rigolé en jouant aux chaussures qui parlent

Regardez, elle va me manger avec sa grande bouche de chaussure à dents

Vite, vite, au placard les chaussures qui parlent...