mardi 21 mars 2006

Voyage seul fils

J'ai reçu en rettrant à la maison avec Artus les dernières conclusions en appel de sa mère.
J'ai attendu son départ pour les ouvrir et ne pas me gacher le WE.

Madame est reparti sur la base des calomnies, avec une troisième version de notre histoire, oubliant une fois de plus la relation d'ARTUS avec ses frères ou transformant et effaçant des années entière pour expliquer que je ne me suis jamais interressé à mon fils.

Mais le plus grave sont ses demandes au juge. Elle demande que je ne vois plus ARTUS qu'un WE par mois, que je paye une lourde pension alimentaire. Elle propose maintenant que je puisse avoir ARTUS la totalité des petites vacances, ce contre quoi elle s'était battu précédement devant le JAF et pour lequel elle avait été entendu.
Enfin elle demande sous cette forme à ne plus transporter l'enfant :

« Dire que sauf meilleur accord, et pour chacun des voyages d’Artus, Monsieur GROS remettra ARTUS au service d’accompagnement de la SNCF jusqu’à l’âge de quinze ans »

Cette proposition est parfaitement inapplicable car les transports accompagnés de la SNCF ne se font que pendant les vacances scolaires et sont donc inapplicables le WE.

Si on peut techniquement appliquer cette solution en fin de vacances, en s’asseyant sur l’aspect psychologique de ce que vit mon fils qui n’a que 5 ans.
Que penser du fait que cette solution est parfaitement inapplicable le WE?
Que penser d’une mère qui est incapable de faire une proposition viable pour son fils les WE après déjà deux ans de procédure?

Que fait on en fin de WE, madame ?

Madame dit clairement qu’elle ne veut pas accompagner son fils pour ses voyages retours laissant l’enfant assumer psychologiquement seul les séparations avec sa famille paternelle. Personnellement, je suis contre ce dispositif qui n’est clairement pas dans l’intérêt de mon fils.

Serai je entendu face à cette mère qui visiblement instrumentalise son fils et se fout de ce qu'il peut ressentir? Rien est moins sûr et en cela la justice Française est vraiment malade. Car quand elle ne fait rien, elle empire les situations. Au moins quand les choses sont complètement dégradées, la justice n'a plus de réelles décisions à prendre. Mais tant pis pour nos enfants.

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