mardi 21 septembre 2010

Petit mot d'amour à mon ex

Savez vous Mademoiselle Y, que chaque jour, chaque heure, chaque minute qui passe me rapproche un peu plus de la sortie de la prison de mensonges dans laquelle vous nous avez enfermé, prison par laquelle vous nous avez privé d'un fils, d'un petit frère avec l'aide de cette justice familiale française si sexiste et si loin de l'intérêt des enfants.

Prison par laquelle, vous l'avez lui, privé de ses frères de son père.
Vous l'avez lui, notre fils, obligé à mentir pour vous protéger et à grandir dans une telle peur qu'il n'ose à 10 ans même plus vous parler de ces choses importantes qui lui tiennent à cœur.

Ses treize ans arriveront vite, mademoiselle Y, et sa majorité suivra juste derrière.

Le temps de votre petit pouvoir, de vos mensonges et de vos chantages va bientôt s'achever en même temps que celui de notre prison. Chaque pulsation, chaque respiration nous rapproche un peu plus de ce moment-là et chaque instant qui passe, je sens un peu plus le doux parfum de notre liberté loin de votre tyrannie, loin du sexisme fainéant des juges aux affaires familiales, loin du cynisme hypocrite des avocats...

A propos, mademoiselle Y avez vous remarqué que notre fils aussi est un garçon?

6 commentaires:

Unknown a dit…

Je vous suggère de faire de cet outil une arme en l'exploitant à des fins de communication en direction de nos élus politiques.

http://www.fildarianeparents.org

Jean-Charles Lopez a dit…

Je suis avec vous de tout coeur et bien que ne subissant peut être pas tout ce qui vous arrive, j'en bave chaque jour de n'avoir droit qu'au fameux droit de visite étendu. Je ne vois déjà plus l'aînée de mes filles et j'espère que j'arriverai à sauver la plus petite.

Une bise à mes filles au passage.
Jean-Charles

Guillaume a dit…

Je souhaiterais me mettre en contact avec vous car moi aussi j ai eu affaire a faire a la fameuse Stephanie Jescke en 2009, meme histoire que vous, aujourd hui a la suite de mensonge de mon ex et afin de préserver mon autre enfant, je ne vois plus ma fille qui va avoir 4 ans. Tout cela car madame l ex m a accuse de coups et blessures a son encontre, alors que ct justement elle qui me les infliges, a chaque fois que je venais récupérer la petite.
Si vous le souhaitez je vous en dirais plus.
A bientot

Unknown a dit…

Merci pour vos commentaires.
Les fausses accusations sont une arme fatale. Impossible de ce défendre puisqu'en la matière on est vite présumé coupable. Je connais un père qui a même fait 2 ans de prisons pour cela, accusé du viol de sa fille, jusqu'à ce qu'elle soit assez grande pour dire que c'était ses demi frère avec qui elle vivait chez sa mère qui la violait à répétition. L'accusation de la mère avait suffit face à la parole du père. Et la bêtise des juges a amené cette enfant a être violée deux années de plus...
J'espère Jean Charles que vous arriverez à garder contact avec vos enfants. Sans cela, c'est souvent perdu d'avance.
Et c'est sur que des fausses accusations dans le comportement d'un juge qui a été capable de me dire qu'il est inconcevable qu'un père s'occupe d'un enfant de moins de 10 ans, cela peut faire de drôle de dégâts...
Malheureusement cette femme par son statut est intouchable pour de simples citoyens. Elle même l'exemple du pire de ce que j'ai rencontré en 15 ans de justice...

Pascale a dit…

Heureusement qu'il y a des pères aussi impliqués que YAOVI dans le soutien et l'accompagnement de leurs enfants afin qu'ils puissent s'épanouir malgré le rouleau compresseur des arbitrages inhumains d'une certaine forme de justice (qui n'en porte que le nom car elle a perdu l'essentiel qui est le respect d'autrui, en particulier le respect des enfants)

Unknown a dit…

Merci Pascale
Au combien je suis d'accord avec vous sur cette forme de justice qui n'en porte que le nom car elle a perdu l'essentiel qui est le respect d'autrui, en particulier le respect des enfants.
Et combien il nous manque de femmes comme vous pour faire bouger vraiment dans l'intérêt des enfants un monde judiciaire familial ou 75% des juges sont des femmes (pardon pour les féministes qui le prendraient mal, c'est pas une opinion mais un constat)