lundi 16 janvier 2006

Lettre à un souteneur

M le soit disant DR MOREL

J’ai appris avec surprise que le document fourni par mme S. , votre patiente, dans ses conclusions n’était pas un faux, mais bien émanant de votre main.

Vous trouverez ci-joint un document de justice datant du 14 janvier 2004 qui vous fera peut être ouvrir les yeux (je l’espère) sur l’inconscience et la gravité de vos écrits.
Vous y constaterez que nos fils lui ont été retirés au titre de l’article 375 pour mise en danger d’enfant.

Une heure a seulement suffit au juge des enfants, mme MOTTES en janvier 2004, pour constater la violence de mme madame S.
Sa décision a été ensuite appuyée par l’enquête psychologique pratiquée par Mme PEUTO médecin comme vous. Elle n’a eu besoin que de quelques rendez vous pour conclure elle aussi au risque que courraient mes enfants en restant chez votre cliente mme S.

Il est étrange qu’un médecin comme vous, puisse produire une attestation telle que la votre en face de tels faits et dans un dossier de demande de changement de domicile émanant de votre patiente. Et je vous faits grâce des multiples répétitions des actes de violence de mme S. contre nos enfants. Ils nous expliquent maintenant très bien comment ils étaient obligés de se barricader dans leur chambre pour éviter de prendre un coup de batte de baseball par leur mère. Elle a d’ailleurs expliqué au commissariat de Romans sur Isère en septembre 2003 qu’elle utilisait une batte de baseball seulement pour intimider ses fils !!!!!!!!!!
Malgré cela vous ne lui trouvez aucune dangerosité.
Je ne comprends ainsi que mieux pourquoi madame S. ne c’est même jamais excusé vis-à-vis de ses fils de ce qu’elle leur a fait subir. Avec un tel médecin elle ne risque pas de s’en rendre compte.

La dernière visite au lieu neutre, après être arrivée trois quarts d’heure en retard, à peine descendu de voiture mme S. s’en est prise verbalement et physiquement à Vivien et il a fallu s’interposer pour qu’il ne prenne pas de coups. Mais avec cela, elle est normale et n’est pas dangereuse, écrivez vous ?

Votre attestation disant que vous n’avez jamais constaté depuis 1999 qu’elle est votre patiente de dangerosité de mme S., est donc clairement un faux de complaisance médical. Un faux qui en plus contredit vos dires en décembre 2003 à mme PISARONI assistante sociale.

Ce qui est grave c’est qu’il montre surtout toute la grandeur de votre incompétence de médecin, que l’on constate malheureusement aussi sur le peux de résultats concrets au niveau de l’attitude votre patiente envers ses fils. Par votre incompétence Docteur, vous avez donc toutes ces années depuis 1999 été clairement complice des maltraitances qu’ont subis mes fils et du renforcement de l’attitude violente de leur mère à leur égard.

Vous avez clairement sur ce point en tant que médecin traitant de mme S. une lourde responsabilité dans ses actes.

Sincères salutations M MOREL

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