mercredi 6 décembre 2006

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Lettre AR et mail

mercredi 6 décembre 2006


Madame Y

Comme je ne cesse de vous le répéter. Je vous demande de respecter l’ordonnance de juin 2006 et d’amener notre fils à BELVERNE et non pas à 75 km de chez nous en prenant une fois de plus ARTUS en otage. Je n’ai pas de voiture et pas les moyens d’en louer une pour vous rendre service.


Si vous étiez bien intentionné vous ne m’enverriez déjà pas des courriers (comme chaque fois) trois jours avant la date du WE en sachant que je n’aurai pas le temps matériel de vous répondre. Votre courrier est partie le 5 de la Défense soit hier. Alors que Artus est censé arriver chez nous Vendredi dans deux jours. Depuis un mois alors que vous étiez parfaitement injoignable au téléphone, vous aviez largement le temps de faire autrement.

Même en me déplaçant à Paris, le deuxième WE de novembre 2006, vous m’avez quand même empêché de voir ARTUS. Vous avez refusé de me parler, tant en direct que par téléphone. Vous avez même refusé de répondre à la police qui vous relançait après que vous les ayez appeler pour me faire partir.

Vous me proposez maintenant de participer à mes frais d’essence pour aller à l’aéroport. Sur le papier c’est un progrès, si on ne vous connaissait pas.

Quand vous deviez payer le trajet retour des voyages d’ARTUS depuis VALENCE à PARIS, vous ne l’avez jamais fait et devant votre refus d’avancer les billets de train, il avait fallu trouver un accord amiable avec votre avocat que vous avez vous-même cassé quelques mois après en ne venant pas chercher ARTUS et en portant plainte contre moi de façon abusive. Je sais donc, que si j’avance ces frais, je ne serai jamais remboursé. Vous m’avez suffisamment escroqué en tant qu’assureur par le passé pour que je sache qu’elle est la fiabilité de votre parole.

En novembre, je vous avais proposé de me payer un taxi pour aller chercher ARTUS à l’aéroport. Vous avez refusé, votre avocat, maître BRIAND, aussi tordu qu’à son habitude, déduisant que je voulais qu’ARTUS prenne le taxi seul (ce qui n’a jamais été mon intention) nous répondant le vendredi après midi qu’Artus ne prendrait pas l’avion. Cela restait facile à une demi journée du WE, d’agir ainsi. Mon déplacement chez vous à ASNNIERES a bien prouvé que vous n’aviez pas réellement l’intention que je vois ARTUS. Et je constate dans votre courrier que votre bêtise sur ce point n’a pas évoluée.

Ma proposition du mois dernier reste donc valable. Vous pouvez toujours affréter et payer un taxi pour que j’aille chercher ARTUS à l’aéroport. Autrement, je vous demande une fois de plus d’amener ARTUS chez nous à BELVERNE comme le veut l’ordonnance de juin 2006 que vous n’avez jamais respecté. Le mieux que vous ayez fait, est de l’amener à VESOUL à 45 km de chez nous, alors qu’il y avait une gare sur la même ligne à 11 km de BELVERNE.

Je ne comprends pas ce que vous gagnez à agir ainsi. Quelle jouissance pouvez vous avoir à faire peur ainsi à ARTUS, au point qu’il parle au téléphone comme un attardé ? Vous pouvez continuer à lui mentir et à lui transmettre vos propres phobies. Cela sera forcement à son seul désavantage. Pour appeler la police parce que j’étais venu chercher mon fils, mon WE de garde novembre, il faut être une grande malade. Et pour ARTUS, je vous invite donc une fois de plus à aller vous faire soigner le plus vite possible.

Et ne venez pas me resservir la sauce de la femme battue ou violentée que vous n’avez jamais été, mais que vous servez à tout le monde pour excuser et justifier votre propre violence. Je le sais d’autant plus, que vos collègues m’envoient des messages de soutient ou les écrivent sur mon blog.

Votre recommandé du jour est adressé d’une adresse à la défense que je ne connais pas.

Avez une fois de plus déménagé sans m’avertir ?

Ou bien utilisez vous le compte et l’adresse de votre employeur pour vos courriers personnels recommandés ?

Bien à vous madame Sabine Y

Philippe GM

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