mercredi 31 janvier 2007

Bon anniversaire ARTUS

C'est ton anniversaire mon Artus et j'espère que tu recevras aujourd'hui ma petite carte postale où j'ai dessiné un dragon. Tes frères et moi nous essaierons de t'appeler ce soir. 6 ans, déjà 6 ans. Finalement je suis content que tu grandisse car je sais que bientôt viendront les jours où nous nous retrouverons et que je pourrais alors être ton père...

Nous avons pu parler à ARTUS ce soir. Madame à déccroché. Chacun notre tour nous lui avons souhaité bon anniversaire. Normalement nous le fêtons le premier WE de droit de visite de février. Ses cadeaux sont prêts avec ceux de Noël dernier, ils sont sur son lit. Mais l'ammènera t'elle. J'en doute au vu de ce qu'elle a raconté au médecin, elle n'est pas prête de changer de position...

Le Psy d'Artus

Je viens de recevoir un appel du Dr Bernard de GOEJE le psy d'Artus.
D'abord il m'apprend qu'ARTUS est venu deux fois chez lui (donc jeudi dernier) parce qu'il a des problèmes de comportement à l'école (tient l'école ne m'a rien dit) et à la maison parce que je refuse de le voir!!!

Madame a expliqué au médecin que je refusais même son aide financière pour aller chercher l'enfant...

Nous sommes ici dans le cas typique de l'utilisation d'un médecin contre un enfant dans ce qui n'est autre qu'une maltraitance psychologique et la validation par madame de ses mensonges auprès de l’enfant. Le médecin n’est là pour cautionner le parent montant l'aliénation. Sa seule présence suffit d’ailleurs à mettre l'enfant en position de malade. Sa mère n'a eu cesse de le lui répéter avant qu'il aille chez le "docteur". Et tout enfant de six ans sait bien que l'on va chez le docteur quand on est malade...

Ensuite madame essaie de faire passer au niveau du médecin sa version des faits. Cela s'ajoute à "ton père ne veut pas te voir" qui est répété à la maison. Le psy un peu naïf, ne peut voir dans cette mère qui le paye, qu'une démarche bien intentionnée de traitement à cause des problèmes qu'exprime l'enfant dans sa scolarité. Elle passerait presque pour une sainte. Mais ce coup là, c'est la quatrième fois qu'on me le fait. Avec mes deux aînés, l'impact sur les enfants de mauvais psychologues n'ayant pas pris la peine de me contacter, avait été catastrophique. Cela avait stigmatisé les problèmes sur mes fils en leur laissant entendre que c'était eux le problème et non la situation qu'ils vivaient chez leur mère.

Ici nous avons un médecin avec une certaine déontologie, puisque qu’il a dit à madame qu’avant d’entreprendre une thérapie, il voulait avoir mon accord aussi. Cela n’a jamais été le cas des différents médecins Marseillais ayant vu mes fils, ainsi que pour ARTUS l’année dernière. Il m’avait fallu plusieurs lettres recommandées pour obtenir de madame les coordonnées du médecin dont me parlait ARTUS. La démarche n’était pas venue du médecin qui s’était borné à traiter les symptômes en ne cherchant pas plus loin. ARTUS avait bien des raisons d’être perturbé l’année dernière quand sa mère était dans les Antilles Anglaise pendant que son fils était à l’école à 6700 Km avec je ne sais qui le gardant à la maison et qu’il avait une interdiction absolue d’en parler. C’est dur de porter de lourds et coupables secrets quand on a 5 ans.

Après un bout d’historique, je comprends que le discours de madame a été efficace. Je suis encore le vilain père qui ne veut pas aller chercher l’enfant. Vous n’avez qu’à emprunter une voiture me dit le médecin. Madame m’a dit qu’elle était prête à payer le trajet. J’adore les « YAKA »…

Je lui raconte alors le WE de septembre où le deuxième WE du mois n’est plus le deuxième et celui de novembre où madame appelle la police quand je me présente devant sa porte. Je lui rappelle l’ordonnance qui est on ne peut plus claire.

Là, un peu désemparé, il me dit qu’il ne peut faire une consultation au téléphone sans rendez vous. Qu’ARTUS va bien et qu’il me demande juste l’autorisation de travailler avec lui si elle le ramène, mais que ce n’est pas sûr…

J’accepte, à condition qu’au début des soins je sois réellement entendu afin qu’ARTUS ne soit pas soigné n’importe comment. Le médecin me dit qu’il va rappeler madame pour l’informer et ensuite me tenir au courrant et me proposer un rendez vous téléphonique si besoin…

vendredi 26 janvier 2007

Artus chez le Psy

Aujourd'hui je reçois cette simple carte. Au dos les coordonées du médecin.
Avec cela, pas le moindre appel, pas la moindre explication. Je ne peux donc qu'être inquiet. Que se passe t'il? L'année dernière Artus avait aussi été suivi pas un psychologue parce qu'il était excité en classe, et je sais ce qu'avait raconté madame au précédent médecin. Je suis inquiet, car j'ai déjà vécu avec mes deux grands, l'utilisation des médecins psychologues contre les enfants. Quand une mère ne va pas bien et que les enfants triquent, c'est en général aux enfants que l'on s'en prend en les médicalisant et en leur disant qu'ils sont malades. Une question me travaille. La démarche d'information vient elle réellement de madame?

J'appelle le médecin. Un répondeur. Je laisse un message...

Quand on relit le rajout qu'a fait madame au crayon à papier sur la carte, on peut lire: "Appel jeudi 28/01/07". Cette date n'existe pas, le 28/01/07 est un dimanche et non un jeudi, donc impossible d'avoir le médecin ce jour là. Parlait elle du jeudi 25/01/07? C'était hier, le courrier est de toute façon arrivé une fois de plus trop tard. La semaine prochaine nous sommes en février...

jeudi 25 janvier 2007

Florian

Juste pour le plaisir un portrait de Florian qui m'épate de jours en jours tant il s'éveille et qu'il grandit avec de belles qualités d'âme. A l'école c'est pas encore ça, mais c'est déjà miraculeux quand on sait le niveau qu'il avait il y a trois ans. Le plus dur est surement de lui redonner le goût aux études alors qu'il a été des années en échec, à lui, à qui sa mère répètait inlassablement qu'il ne saurait jamais lire.... Et je dois dire que l'éducation nationale ne m'y aide pas beaucoup...

En musique, par contre c'est un vrai régal. Chaque semaine des progrès. Il enchaine l'apprentissage des gammes "pentatoniques" avec dextérité. Moi je ne sais même pas, ce que cela veut dire, mais le mot m'ammuse. C'est simple me dit il...
C'est vrai que les choses sont simples quand les professeurs sont bons...
"Stairway to heaven" est le dernier morceau à son répertoire, et le père est très ému d'entendre son fiston, après juste deux ans et demi de guitare, jouer un de ses morceaux préférés...

mercredi 24 janvier 2007

Il neige


Etrange sortilège d'un trop doux hivers qui revient tout à coup pour faire rire les enfants. Florian a invité ses copains du village à dévaler la pente entre les grands "sapins". De batailles en roulades l'après midi à filé. Ainsi va la vie ici avec ses joies simples et ce bonheur d'avoir un paysage comme terrain de jeux...
Au loin, si loin, Artus joue derrière les grilles de la maternelle...

vendredi 19 janvier 2007

Audition



Ce matin gendarmerie d'Héricourt, audition a la demande du procureur à propos des réponse de Mme qui s'explique:

"Elle n'a pas d'autre choix que d'envoyer Artus en avion car il n'y aurait pas de gare proche ni de train le WE. Le trajet n'est que d'une heure en avion, dit elle"

Premièrement le trajet en avion est aussi long que celui en train. Madame ne compte simplement pas dans le trajet tout le reste du transit. Déplacements aux l'aéroports (75 km de chez moi), embarquement, débarquement ... etc

Deuxièmement, j'ai une gare de sous préfecture à 12 km de BELVERNE. Le TGI est d'ailleurs à quelques centaines de mètres de la gare. Et il y a bien des trains le WE. J'en ai utilisé un pour ramener ARTUS le dimanche quand il est venu chez nous. Il y a même un train de nuit le vendredi soir.

Non, le fond de ce qu'elle dit, c'est qu'elle refuse de faire le trajet avec lui. Le jugement lui permet de le faire accompagner, alors elle refuse catégoriquement de faire le trajet pour accompagner son fils de 6 ans. Donc le seul moyen de transport possible est pour elle l'avion. Même si c'est aussi long pour ARTUS et qu'il assume les transports seul. Et cela ne choque personne... C'est vrai qu'elle faisait déjà cela quand il avait 4 ans, le considérant comme un vulgaire paquet...

Le brigadier m'a aussi dit, qu'il l'avait eu au téléphone. La gendarmerie a maintenant le droit d'appeler en cas de non présentation d'enfant ce qu'elle avait fait samedi dernier. Madame lui a entre autre déclaré qu'en novembre 2006 s'il elle n'avait pas ouvert quand j'étais allé chercher mon fils chez sa mère. C'est parce que j'allais la frapper.

On retrouve ici les accusations habituelles des mères qui veulent se débarraser du père et justifier leurs actes. C'est si facile d'accuser ainsi. Avec une petite larme d'accompagnement supplémentaire on vous sort presque la cavalerie pour fustiger l'audieux père et plaindre cette mère qui défend son fils contre vents et marées...

J'avoue en avoir marre de tout cela. Cela continue avec une stupidité de plus en plus grande. Et si je ne lache pas c'est parce que je sais qu'ARTUS a besoin de moi et que les maltraitances de sa mère ont largement commencées...

Mais pourquoi s'arrêtrerait elle si personne ne fait rien et qu'elle est ainsi encouragée à continuer... Dame justice se plaint de ne pas avoir assez de moyens. Je crois qu'il faudrait qu'il commence à travailler car ce que j'observe c'est des dossiers qui s'autoalimentent du seul fait de leur inaction. Les plaintes pour non présentation d'enfant sont les plaintes les plus courrantes. Mon dossier sur le bureau du gendarme fait déjà deux centimètres de haut depuis septembre 2006. Toute cette masse de travail n'est due qu'à l'inaction ou la lenteur du procureur. C'est le serpent qui se mord la queue...

En tout cas au vu de ses réponses aux gendarmes, c'est pas la peur de la justice qui la travaille, elle se sent en toute impunité. Nous nous ne voyons pas ARTUS et elle déclarera comme pour la période où elle avait disparu dans la nature sans laisser d'adresse, que c'est moi qui ne veut pas voir mon fils...

Raz le bol. Je comprends que des gens qui craquent ou se font justice eux même...

jeudi 11 janvier 2007

Le temps de répondre


Courrier n° 1P00078404007 (Prêt à recommander Suivi) :

Déposé à ASNIERES VOLTAIRE CDIS 09/01/2007 (soit mardi)
Arrivé au bureau distributeur de HERICOURT (70400) le 11/01/2007 (le jeudi)

Le courier est daté pour des raisons juridique au dimanche 7 janvier
Entre le 7 et le 12 cela peut donner l'impression de laisser plus de temps
Même si je voulais répondre favorablement ou défavorablement, je n'en ai pas le temps matériel.

Pour Madame la réponse juridique est maintenant toute faîte:
C'est pas moi qui voulait le couper de son fils, voyez il ne m'a pas répondu.

C'est pas le mieux qu'elle m'ait fait. En février 2005 je n'ai reçu le courrier qu'après le WE. Ne croyez vous pas que c'est ce moquer du monde d'agir ainsi alors qu'ayant un WE par mois elle a un mois pour écrire? Le problème est que personne ne lui disant rien, pourquoi s'arrêterait elle?

Et le chantage continue

Je viens à l'instant de recevoir la lettre recommandée de mon ex à propos de ce WE soit demain.

Elle ne change pas de position, pourquoi changer d'ailleur...
Soit j'accepte son chantage et je prend à ma charge une partie du transport qui lui incombe soit je ne vois pas Artus.
Elle me demande une réponse sans même me laisser le temps de répondre.

"A défaut d'accord de ta part, je ne mettrai pas ARTUS dans l'avion"

Même si je me débrouillais pour organiser le transport à sa place je n'ai même pas le temps matériel de lui répondre. parce qu'avec une telle personne, seule une réponse écrite est valable...
Je lui ferai une lettre recommandée demain qui arrivera après le WE...
Nous ne verrons pas ARTUS ce WE et elle aura beau jeu de lui dire que je ne veut pas le voir...

Viendra, viendra pas


Nous sommes jeudi et toujours pas de nouvelles d'ARTUS qui est sencé arrivé demain.
Même si je recevais un recommandé aujourd'hui, impossible donc d'y répondre avant le WE.

Je n'ai d'ailleurs eu aucune réponse de madame YEDDOU aux précédents courriers et à mes questions à propos du médecin ou sur qui gardait ARTUS pendant qu'il était à l'école et elle aux Antilles. L'autorité parentale en France est un ensemble bien virtuel de lois qui n'a déficacité que pour faire payer les parents n'ayant pas la garde. Pour le reste cela ne garanti pas à un enfant d'avoir deux parents...

mercredi 10 janvier 2007

Arnaud C

"Je suis outré par votre parcours, ce que vous avez du endurer et le pire c'est qu'on est très nombreux à vivre ça. Votre Blog m'a ému, choqué, révolté et fait remonté à la surface certaines douloureuses étapes.

Je me bats pour ma petite fille de 4 ans et demi et je me fais maintenant cartonner par mon ex qui utilise des fausses accusations d'agressions sexuelles et j'en passe!!! J'ai eu le droit à tout le cursus pour la paire de couille que je suis, car je ne suis avant tout pour elle qu'un géniteur!!!

Mais bon, qu'on se sent seul. Peu de partage de constat pour nous papas victimes...pas de défense, on a toujours tort... Arfff! j'en arrive à penser en plus des résultats de l'affaire d'Outreau que les prisons seraient bien plus vide sans tout cela!!!

Aucune considérations pour nous...
On ne parle toujours que des femmes victimes de violences conjugales mais qu
'en est il des hommes victimes....
Je ne connaissais pas votre blog mais maintenant je me sens moins seul

amicalement"

Merci Arnaud pour ces mots d'homme et de père si actuels. Dans le silence, loin des médias nous sommes nombreux à vivre des histoires qui se ressemblent. Et pour nos enfants, il faudra que cela change.

Vous devriez nous aider mesdames qui avez des fils...

Car un jour finalement si proche, ils vivront ce que nous vivons. Et vous découvrirez alors qu'il y a un statut encore plus bas que celui de père au yeux des enleveuses d'enfants: celui de grand mère du coté paternel. Celle que l'on accuse de tous les mots et surtout évidement d'élever les enfants à la place de leurs fils.

De mère ayant tout pouvoir vous passerez alors au statut de paria ayant à peine le droit d'approcher vos petits enfants...

mardi 9 janvier 2007

Pauvre de nous

La justice Française fonctionne parfaitement quand on n'a pas besoin d'elle...

L'enquête demandée par le procureur de chez nous fin octobre est enfin revenue à LURE. Elle comporte de nouvelles pièces et dires de mon ex qui a été entendu une deuxième fois à propos de la plainte de Septembre 2006 (4 mois déjà). Je devrai être convoqué pour apporter une réponse aux déclarations de Madame. Quand? Bientôt...

En attendant ce WE, je suis sencé voir ARTUS et pas la moindre nouvelle de Madame à 3 jour de mon droit de visite. Nous sommes ici en terme de délai dans l'habituel. Je dervrai recevoir demain une nouvelle lettre AR en forme de chantage: "tu fais ce que je veux et tu assumes une partie de mon transport, sinon tu ne verras pas ARTUS". Le problème avec les maîtres chanteurs c'est qu'ils ne s'arrêtent jamais, une fois leurs exigeances réalisées ils en trouvent une autre...

Je suis curieux de savoir ce qu'elle a pu inventer ce coup ci pour ce justifier. Et dans ce domaine, elle ne manque pas de ressources et de créativité...

samedi 6 janvier 2007

Qui a commencé?

Est ce l'oeuf ou la poule?
Chez nous c'est la petite poule dorée qui a commencée, celle qui a une tache bleu sur la tête
Au printemps il y aura les poussins piaillant aux quatres coins du jardin...

lundi 1 janvier 2007

Bonne année 2007

Le premier janvier vers 19 h Artus m'a appelé. C'était la première fois en 6 ans.
Il m'a raconté rapidement ses cadeaux. Puis m'a dit: "Papa je t'aime"
C'était bon comme un cri du coeur.
Je lui ai répondu que nous aussi nous l'aimions. et puis il a fallu couper car dans l'arrière plan silencieux l'on sentait l'oreille de Moscou qui n'a pas désiré m'adresser la parole.
J'étais heureux d'entendre mon fils et à la fois perplexe tant la tension chez lui était palpable.
De combiens de témoins était il entouré? Quelles sont les intentions réelles de madame pour cette première fois? L'avenir le dira. J'ai pris l'habitude pendant toutes ces années de me méfier des générositées subites de mes ex.
Au final à la bouche un goût amer. Je sais que mon fils est toujours un petit otage, et je sais qu'il m'aime de tout son coeur et c'est bien cela le plus important.
Le deuxième WE il est sencé venir ici. Sa mère ne m'a pas encore écrit, mais je suppose qu'elle va reprendre sa position de maître chanteur et qu'une fois de plus nous ne verrons pas ARTUS.
Est ce que dame justice fera en 2007 quelque chose pour moi? Rien n'est moins sûr...
Je fais voeux que ce système judiciaire pourri change. Et que l'on ne me dise pas que notre justice n'est pas si mauvaise et que finalement cela ne fonctionne pas si mal, c'est une des pires justice d'europe et il n'y a pas de quoi en être fier...

jeudi 28 décembre 2006

Le Pic


Savez vous que les Pic aiment les cacahouettes?
C'est étrange cette attirance pour l'exotisme
Tous les jours il revient sur le pommier dans le jardin
Il est beau l'oiseau...

mercredi 27 décembre 2006

Le givre


Dehors le givre étend ses merveilles jusqu'au pied de ma porte
A deux pas de là
Un rayon de soleil suffit pour enchanter
Ce monde froid, mais bien réel qui joue avec la lumière
L'hivers est là, précédent le printemps
J'ai de la chance d'être en vie
Ici au pied de nos arbres
Plutôt que mort vivant là bas
Dans leurs imeubles de verre...

Lettre au preneur d'otage

mercredi 27 décembre 2006

Lettre recommandée AR

Madame YEDDOU

J’ai bien reçu hier votre chronopost.

Je note que vous persistez à utiliser notre fils comme un moyen de chantage pour que j’assure à votre place une partie du transport qui vous incombe selon l’ordonnance. A savoir 150 km sur les 460 km qui sépare ma maison de la votre.

Vous écrivez : « En conséquence, vous refusez de venir chercher ARTUS à l’Aéroport et donc il restera chez moi »

Selon vos propres termes, soit je fais cette partie de transport à votre place, soit je ne vois pas Artus. Cette partie de voyage est bien à votre charge et vous l’admettez puisque vous proposez maintenant de la financer (toujours des mots rien dans les faits). J’attends moi toujours, le taxi que je vous ai proposé de m’envoyer pour que je puisse faire à votre place cette fin de transport, que vous refusez obstinément de faire.

L’ordonnance est pourtant claire. La charge du transport vous incombe de votre domicile au mien. Je réalise bien moi le retour de chez moi jusqu’à votre domicile. Et non en m’arrêtant à 75 km de chez vous (allez retour 150 km pour Bale Mulhouse).

Si j’ai accepté d’aller chercher ARTUS à mes frais aux vacances d’été et à toussaint, c’est parce que je n’avais pas le choix et que vous me faisiez déjà chanter sur ce point et que j’avais alors céder à votre chantage. Le même chantage qui m’obligea en octobre à aller chercher ARTUS à VESOUL à 45 km de chez moi alors que nous avons la gare de LURE à 12 km sur la même ligne. Pourquoi s’arrêter à 45 km plutôt qu’à 12 km si ce n’est pour rendre les choses plus difficiles.

C’est vrai ça, comme vous ne finissez pas le transport à votre charge, pourquoi ne ferai je pas 12 x 2= 24 km ou 45 x 2= 90 km ou 75 x 2= 150 km, ou même comme vous le dites dans votre précédent courrier, pourquoi ne viendrais je carrément pas chercher ARTUS à Asnières en assumant tous les transports ?

Vous demandiez en appel, que l’on me supprime tout droit de visite les WE, je constate que les juges ne vous l’ont pas accordé, mais que vous l’avez mis en place en me supprimant les vacances aussi.

Vous me reprochez de devoir m’écrire pour fixer les WE.

Je vous fais remarquer que les WE ont été fixés par l’ordonnance de juin 2006 tout comme les modalités de transport.

Et effectivement, vous fixer les WE à votre guise. Comme ce mois de septembre où vous nous avez dit le vendredi 8 où Artus devait venir, que le deuxième WE du mois n’était pas le deuxième mais que c’était le suivant. Le WE suivant (le troisième du mois) vous aviez décidé que je devais aller chercher ARTUS à l’école. Malgré mes réponses négatives par mail et par mon avocat. Vous avez quand même fait attendre ARTUS à la sortie de l’école en lui laissant croire que j’allais venir le chercher, ce qui est pour le moins odieux.

C’était d’ailleurs du même ordre que le premier WE de février 2005 ou vous n’êtes pas venu cherchez ARTUS à Romans (quand le transport retour était à votre charge au vu de l’accord amiable que vous avez rompu) et ce juste pour aller porter plainte abusivement contre moi.

Le deuxième WE de novembre 2006, après que vous n’ayez pas amener ARTUS chez nous, quand je me suis déplacé à Asnières (chez vous) pour faire valoir mon droit de visite. Vous avez aussi refusé que je vois ARTUS, préférant devant notre fils, appeler la police, pour chasser son père qui sonnait à votre porte. C’était pour le moins odieux et je ne reprends que les termes d’un magistrat d’ici.

Effectivement madame YEDDOU, je constate comme vous le dites, que c’est vous qui décidez des WE et des vacances. Et qu’avec vous, même une ordonnance de cour d’appel ne sert à rien, puisque vous avez le pouvoir d’utiliser votre fils comme un moyen de chantage.

Vous me reprochez de ne pas avoir de véhicule.

Ma situation financière que je vous dois en partie, ne me permet pas d’acheter une voiture. C’est vrai que vous ne m’auriez pas escroqué en 2001, sur un contrat d’assurance quand vous étiez chez AON, j’aurai encore sûrement mon travail et surtout mon entreprise. Je passe d’ailleurs encore, une grande partie de mon temps en procédures pour me défendre des conséquences de vos malversations et magouilles malhonnêtes, puisque je suis accusé en temps que gestionnaire de n’avoir pas pris les assurances nécessaires à la protection de l’entreprise (merci madame, cela je vous le dois directement et pas seulement à votre amie Françoise comme vous le laissez entendre dans votre courrier de mai 2002).

Ma maman, qui vit une partie de son temps à Belverne, une autre chez ma sœur à LYON ou chez mon frère à SURENNE, ne peut pas être dépendante dans ses déplacements avec son véhicule, de votre seule volonté. Par ailleurs, vous l’avez accusé déjà, de s’occuper d’ARTUS à ma place. Si elle n’est pas forcement là, pour assurer votre bon vouloir, vous ne pourrez plus continuer de nous accuser à tord sur ce point.

Personnellement, je ne vois pas pourquoi, je l’obligerai à être ici, simplement parce que vous refusez de finir le voyage qui vous incombe pour nous permettre de voir ARTUS.

Vous me reprochez de ne pas avoir de véhicule et qu’il en va de la sécurité d’ARTUS. Heureusement dans nos campagnes il existe aussi des numéros d’urgence. Comment feraient tous les vieux du village autrement, alors qu’ils ont passé l’âge de conduire ? Nous avons même une caserne de pompier, dans le village à coté (Etobon), à moins de quatre kilomètres, où Vivien le grand frère d’Artus est pompier volontaire. Je ne sais pas si les secours, ne seraient pas rendus plus vite chez nous, que chez vous avec les embouteillages.

Vous me dites : que votre seul souci est l’équilibre d’ARTUS et que la preuve en est le carnet scolaire d’ARTUS. La mère de mes deux grands avait le même argumentaire que vous et le même soutien de l’école, malgré les maltraitances que subissaient mes fils. En maternelle, comme pour ARTUS, c’était particulièrement bon comme résultats. Alors laissez moi sourire sur l’école maternelle Flachat. Ayant moi-même subi des maltraitances, je sais comment on y fait bonne figure, pour cacher ce qui est difficile par ailleurs à la maison. Les enfants maltraités ne sont pas forcement des mauvais élèves, surtout en maternelle. Oui, madame YEDDOU, ce que vous faîtes subir à ARTUS, c’est de la maltraitance.

Vous avez, dites vous, comme souci l’équilibre d’ARTUS. Pourtant vous partez comme en mars 2005 et novembre 2004, a plus de 6700 km, à ST MARTIN pendant qu’il est à l’école. Dans le précédent courrier, je vous ai demandé, qui gardait ARTUS pendant ces absences, dont je n’étais pas informé. Et je constate qu’une fois de plus vous ne me répondez pas. Vous pouvez vous inquiéter, du danger que subi Artus quand il est chez nous, à 4 km d’un poste de secours, en étant avec son père, alors que vous-même, vous n’hésitez pas à être à plus de 6700 km de lui, quand il est à l’école, et ce sans même en informer son père, qui juste qu’à la preuve du contraire, est la seule personne ayant l’autorité parentale avec vous. Qu’auriez vous fait en cas d’accident à 6700 km, madame YEDDOU ? Ayez au moins le courage de me répondre.

Je vous demandais aussi dans le courrier précédent, le nom du médecin d’Artus, vous ne me donnez pas de réponse une fois de plus, vous moquant bien de l’autorité parentale que je suis sensé avoir.

Enfin, vous reprenez votre litanie, comme quoi vous auriez fait vous-même les démarches pour que je puisse avoir un droit de visite en 2004. Vous êtes seule à croire à vos mensonges de bienfaitrice madame YEDDOU. Allez vous faire soigner madame, vous en avez grandement besoin…

Vous n’avez saisi le JAF que sous la pression d’une enquête de police.

Vous aviez déménagé sans laisser d’adresse en 2003 (votre lettre à ma mère l’atteste puisque vous expliquez pourquoi en m’accusant de façon calomnieuse entre autre de faire peur à ARTUS) et que les cadeaux envoyés en janvier 2004 sont revenus chez nous, parce que votre courrier ne suivait plus depuis l’ancienne adresse.

Sans votre adresse vous saviez que je ne pouvais saisir le JAF. Je vous avais d’ailleurs eu au téléphone le 5 février 2004, et vous aviez refusé une fois de plus de me donner votre adresse. Je vous avais averti qu’ayant obtenu que mes aînés vivent avec moi depuis janvier 2004, j’allais entamer une procédure et porter plainte contre vous, ce que j’ai fait le lendemain auprès du procureur de Valence. Impossible de gérer pour moi avant, et un dossier de maltraitance à Marseille et l’enlèvement d’enfant que vous me faisiez subir. Il n’y a pas d’autre mots, c’était un enlèvement, madame YEDDOU et vous n’y avez mis fin que sous pression de la police…

Vous ne trompez personne, madame YEDDOU, à part des juges aux moeurs sexistes qui ne lisent pas leurs dossiers et un petit garçon qui sera bien déçu de vous découvrir tel que vous êtes et qui n’aura même pas besoin de son père pour cela, tant le mensonge est chez vous, une seconde nature.

Si vous aviez agit dans mon intérêt et celui de notre fils, il n’était nul besoin de passer devant un JAF, pour me fixer des droits et une autorité parentale que de toute façon vous bafouez.

Vous ne m’auriez pas coupé de lui en 2002, 2003 et 2004. Vous ne seriez pas parti vivre à 700 km de l’endroit où nous vivions et où Artus a passé les 10 premiers mois de sa vie. Vous n’auriez pas escroqué son père (votre avocat actuel est à lui seul la preuve de vos magouilles, puisque qu’il était à l’époque sensé me défendre et que je le retrouve maintenant défendant vos intérêts). Vous auriez respecté l’accord amiable que vous aviez vous-même proposé en octobre 2004. Vous assumeriez maintenant le transport qui vous incombe sans me faire chanter en utilisant ARTUS et sans essayer d’imposer à ma mère de vous prêter une fois de plus sa voiture pour un trajet dont vous avez la charge et de lui imposer de vivre ainsi au dépend de votre volonté.

Une fois de plus, je vous demande de respecter l’ordonnance de juin 2006 et d’amener ARTUS chez nous à BELVERNE. Vous nous avez fais subir une nouvelle non présentation d’enfant, nous coupant d’ARTUS ce Noël. Je ne vois pas où est l’intérêt d’ARTUS d’être utilisé comme un otage pour que nous assumions une partie de vos transports.

Veuillez agréer madame YEDDOU, mes salutations

Le père d'ARTUS

lundi 25 décembre 2006

Le billard Hollandais

Noël c'est c'est passé simplement. Nous avons pensé à Artus, bien sûr. Nous sommes allé au bois préparer le printemps. Le printemps se prépare toujours en hivers...

Ensuite la journée s'est passé autour du billard hollandais en partie acharnées.
Tu vois mon Artus, tes frères apprènent à trouver du bonheur même les jours de tristesse
J'espère que tu y arrives aussi...

samedi 23 décembre 2006

Pauvres gendarmes


Et voilà une de plus. Les gendarmes m'ont dit qu'ils n'avait pas arrêté aujourd'hui. Les non présentation d'enfant et les fausses accusations de violence sur ces dâmes, c'est notre lot presque tous les jours. Il faudra que cela change, me confie l'OPJ...

Forcement comme sur des forums comme parents solos certaines disent:

- Je suis triste je ne vais pas avoir mes enfants à Noël, ils vont chez leur père.

Et d'autres de répondre:

- Gardes les, tu ne risque rien si tu les gardes. Tant pis pour le père...

Et oui, ainsi va notre beau monde à la Française, pays des droits des êtres humains et pays ayant signé la charte des droits de l'enfant...
Avec le soutien sans faille (il n'y a pas d'autres mots) de notre bon ministre de la justice (le garde des sots), pourquoi ces pratiques illégales et graves pour nos enfants ne prendraient elles pas de l'ampleur. J'y penserai en votant monsieur le ministre...

Donc Artus ne sera pas avec nous ce Noël, et certains diront que c'est pour son intérêt supérieur. Nous ouvrirons ses cadeaux plus tard, quand il sera là.

Quand?
Un jour! (son T shirt de jeune sapeur pompier risque d'être un peu petit dans 10 ans, mais on en trouvera un autre).

Je vais donc fêter Noël avec ses deux grands frêres...
C'est vrai, que j'ai déjà la chance d'avoir mes deux aïnés... de nombreux pères passeront tristement leur Noël seul, malgré les décisions de la soit disante justice. Pour contraindre les pères à payer, sur ce point, elle n'oublie pas de ne pas être laxiste, dame justice.

Quoi? Un enfant aurait donc plus besoin d'avoir de l'argent que d'avoir une relation réelle avec ses deux parents?

A l'ouest rien de nouveau

Nous n'aurons pas ARTUS pour Noël.
Ce que je présentais, c'est réalisé. Madame refuse de l'amener chez nous. C'est odieux, comme dit le procureur, mais c'est ainsi.

Cet après midi, j'irai poser une nouvelle plainte en gendarmerie. J'ai bien eu le procureur de Lure au télephone qui m'a promis de faire quelque chose dès son dossier reviendrai d'Asnières où il est reparti pour complément d'information fin octobre. Depuis, aucun des deux parquets concernés n'ont de nouvelles du dossier qui a été confié à la police d'Asnières qui est sur le coup particulièrement lente... La justice, qui a soit disant trop de travail, ne faisant rien, multiplie le travail à cause de son inaction qui se retrouve ensuite au niveau des commissariats (le serpent qui se mord la queue)...

En attendant, nous ne voyons pas Artus. Lui est quelque part prisonnier de la volonté de sa mère qui s'en sert comme d'un otage pour que j'assume un tiers du transport qui lui incombe. Tu feras ce que je veux, sinon tu ne verras pas ton fils. La position de madame n'a pas changé d'un centimètre depuis toutes ces années, avec la même violence dans les comportement et les faits. Au pardon, je parle violence féminine, alors que c'est un sujet médiatiquement tabou en France...
Tout le monde sait qu'une mère n'agit que dans l'intérêt supprème de l'enfant et que si elle fait chanter tout le monde en l'utilisant comme otage, c'est pour son bien à lui...

Quand les députés interrogent régulièrement notre bon ministre de la justice sur ce point, il dit que les pères n'ont qu'à aller porter plainte. Puis il donne des consignes aux parquets pour n'intervenir que dans les situation aggravés. Donc les parquet ont l'obligation de ne rien faire avant que la situation soit critique. Une volonté affirmée de madame est nécessaire. En gros il sufit qu'elle dise qu'elle veut bien que l'enfant voit son père pour qu'on la croit. A ce moment là, après de multiple répétitions et à condition que le père ne baisse pas les bras (s'il le fait il sera accuser de se désinterreser de l'enfant), la justice finit par convoquer et donner un blame à Madame. On lui fait un rappel à la loi. Ce qui ne n'empêche pas madame de continuer.
Résultat pour 2002, plus de 10000 plaintes pour non représentation d'enfant. Qu'il faudrait multiplier par deux, car dans beaucoup de cas la police refuse de prendre les plaintes et oriente les plaignants vers des mains courantes inutiles et non comptabilisées (on fait baisser la déliquance comme on peut au ministère de l'intérieur). Moins de 500 condamnations (493) pour plus de 10000 plaintes officielles soit une condamnation dans 5% des cas...

Où est l'intérêt de l'enfant à avoir deux parents, monsieur de ministre?
A chaque plainte un des parents a été coupé de son enfants...

Dans les années 80, 17% des enfants de parents séparés ne voyaient pas leur père. Maintenant ils sont près de 37% (officielement) à ne plus de voir du tout le parent n'ayant pas la garde (le père dans 90% des cas) et cette situation nous vous la devons, monsieur le ministre de la justice.

Une idée en passant:

On demande à un parent n'ayant pas payé la pension alimentaire, de payer sa pension alimentaire en retard pour faire lever sa condamnation qui arrive dans 98% des plaintes (2 mois de prison ferme, tu payes ou tu vas en taule). Pourquoi ne rattraperait t'on pas aussi les WE et vacances perdus en terme de droit de visite. Au pardon c'est vrai que pour les juges le père a surtout besoin d'exister symboliquement pour l'enfant. Un WE par mois c'est particulièrement symbolique comme précense du père et c'est une décision de justice courrante...
J'ai eu cette décision en défaveur de mes enfants et pour mes aînés et pour Artus...

Je pense que tout cela influencera beaucoup mon vote du mois de mai, monsieur le garde des sots...

mardi 19 décembre 2006

Le maître de musique

Vivien fait de la batterie cette année. La guitare c'était pas franchement son truc.
Dans notre tout petit village, vit M CARRON qui a pris mes deux fils à ses cours de musique. Ancien chef d'orchestre du territoire de Belfort, il a tranformé l'ancien temple en salle de répétion pour son orchestre qui comprend une trentaine de musiciens. Mon fils ainé a trouvé un truc qui l'accroche et un maître de musique souriant et exigeant, je trouve cela génial de voir sourire mon fils ainé ainsi...

Zing, boum, boum
Zing, boum, boum
Zing, boum, boum